La Cour de Cassation a considéré que le salarié qui a apposé sa signature sur la lettre établie par la société lui proposant le renouvellement de sa période d’essai sans y porter d’autre mention et ayant relevé, dans le cadre de son pouvoir souverain d’appréciation, que le salarié avait manifesté sa volonté claire et non équivoque d’accepter le renouvellement de sa période d’essai (courriel et attestations ), la cour d’appel a pu le débouter de sa demande de qualification de la rupture de la relation de travail en licenciement abusif (Cass. soc. 25-1-2023 n° 21-13.699 F-D)